Et si l'on suivait le parcours d'une fille qui voyage beaucoup, comme le font souvent les descendants des phéniciens ? Les livres sont ses amis, alors dans chaque pays une histoire surgit. Peureux des voyages, prenez garde !

Spectacle en solo avec des instruments accompagnant les récits: Bodhrán (tambour sur cadre), hochet en carapace de tortue, sifflet de terre cuite et gankogui (double cloche métallique).

 Public familial et jeune public 6-10 ans

Durée approximative une heure

Une centaine d’enfants…ont apprécié les histoires de la conteuse qui les a transportés…. Des contes traditionnels, dont les décors, plantés aux confins de l’Orient et de l’Occident, emprunts de pluri-culturalisme ont résonné au son des percussions et ont démontré aux enfants qu’une belle histoire permet de voyager loin sans bouger de sa chaise.

Journal de la Haute-Marne

Le courant passe avec ce jeune public. La magie du tambourin donne des sonorités musicales à son histoire. Quand la marmite roule, les applaudissements de la salle répondent comme un écho. Les paroles, les gestes se croisent et s’entrecroisent à l’unisson.

Corse matin

« Le titre de cette création, L’autre, nous autres, les nôtres… et moi, suffit à lui seul à en donner le ton et l’esprit d’ensemble : en une petite heure, Theresa Amoon entraîne le spectateur dans une virevoltante succession d’histoires et dans un tourbillon de mots pour dresser un tableau très vivant de nos relations aux autres, qui peuvent aller de la peur à la séduction, en passant par le rejet ou la solidarité.

Ce qui m’a séduite d’emblée dans ce nouveau spectacle, c’est l’aisance avec laquelle la conteuse mêle habilement différents niveaux de paroles, à la fois des contes et légendes des siècles passés, mais aussi des souvenirs personnels, des extraits d’ouvrages de philosophes, des bribes d’une interview imaginaire avec elle-même, des références à l’actualité la plus récente. Le tout avec comme fil conducteur, l’éternelle question du comment vivre avec autrui, comment gérer nos relations avec celui qui se trouve face à nous, qu’il nous ressemble ou non.

Parfaitement accompagnée par la musique, Theresa Amoon alterne, sans temps mort, les passages racontés, chantés, voire psalmodiés, parfois même dansés, mais aussi lus.

Une chose est sûre, en tout cas, cette nouvelle création est loin de laisser les spectateurs indifférents, au contraire, elle les incite vivement à prolonger la réflexion... " Le Monde

"A la fin du spectacle, comme à chaque fois, c’est au public que Theresa Amoon donne la parole à l’occasion d’une discussion ouverte à tous ceux et celles qui souhaitent rester pour échanger avec les deux artistes et prolonger la réflexion autour du thème de l’autre. . " Le Monde